Pourquoi une base de Ferrari 400 ? Tout simplement parce que cette voiture ne coûtait trop pas cher pour une Ferrari en 2012 et dispose d'un V12. Cela permet d'offrir ainsi une certaine légitimité à la Memory. Le modèle présenté à Genève, entièrement noir, n'est pas une réplique, mais plutôt une évocation.

Pourquoi ?

Hommage ou hérésie ? Certains regrettent l'utilisation d'une Ferrari 400 pour construire ce genre de voitures ; d'autres semblent approuver, comme en témoignent les sept exemplaires construits par Sbarro de la Mille Miglia. Quoi qu'il en soit, la Memory est agréable à regarder, même si à mon sens elle marque une absence de créativité de la part de Sbarro qui, à sa décharge, répond comme toujours à la demande de clients.